J'aime penser aux choses. J'aime aussi remettre les choses en question – parfois juste pour le plaisir.
Je me suis ballotté dans certaines choses. D'autres choses qui ne m'intéressent absolument pas.
Je suis aussi devenue une tante du changement climatique, malgré le mien jusqu'à présent, dans le cadre, jeune âge.
Sur ce blog, vous pouvez lire la plupart de ce qui correspond à mon monde de pensée. De la critique sociale à la beauté 40+ à des histoires embarrassantes pour…
Bienvenue! 🙂
C'est la suite du mien post précédent où je m'interroge sur le chaos qui règne actuellement dans l'aide au logement dans la municipalité de Västerås. Aujourd'hui, je continue mon questionnement et j'aborde également à quoi peuvent ressembler les effets du chaos pour les personnes ayant besoin d'aide.
Dans mon passé post J'ai décrit ce qui se passe actuellement en matière d'aide au logement dans la municipalité de Västerås. C'est un chaos pas comme les autres, qui touche un nombre énorme de personnes. Et puis je ne parle pas des politiciens qui décident, ou les fonctionnaires qui travaillent quotidiennement sur ces questions sont touchés (même si, surtout, les fonctionnaires sont actuellement pleins), mais les personnes qui utilisent ce service incroyable que l'aide au logement est en fait.
Ceux qui sont accordés l'aide au logement a besoin d'être accompagnée dans sa vie de tous les jours. Cela peut être n'importe quoi, du soutien pour faire fonctionner la vie quotidienne, arriver à un moment donné, se souvenir d'aller aux réunions réservées avec, par exemple, les soins de santé, Försäkringskassan, Arbetsförmedlingen ou autre chose, mais cela peut tout aussi bien être un effort social partiel.
Quel que soit le but bénéficie d'une allocation logement individuelle, cela signifie un point fixe dans la vie quotidienne, quelque chose autour duquel une personne peut construire sa vie quotidienne. La plupart des personnes qui ont besoin et qui reçoivent une aide au logement ont un grand besoin de routines, la stabilité, relations fixes – qu'ils obtiennent grâce à leur aide au logement. D'autant plus que beaucoup d'entre nous ne sont peut-être pas très doués pour créer et maintenir tout cela par nous-mêmes.
Il y a tellement un nombre incroyable de questions à poser sur la façon dont cela est géré. Sans parler de la façon dont cela a été géré jusqu'à présent, et pourquoi une situation se présente où ceux qui sont les plus touchés sont ceux qui ont le plus besoin de cette sécurité et de cette stabilité particulières.
Comme; dans le chaos actuel, je parie qu'il y a beaucoup de clients (comme on nous appelle ici à Västerås, contrairement à d'autres municipalités qui utilisent les utilisateurs à la place) qui choisissent de ne pas continuer avec l'aide au logement même s'ils en ont vraiment besoin.
Ce qu'il se passe quand Support Informatique, la routine, la stabilité et la sécurité qu'ils ont dans la vie, disparaît?
Combien avoir des emplois à faire, resteront si stables qu'ils pourront continuer à travailler (heures supplémentaires)? Combien se sentiront si mal que leurs propres finances seront affectées – à tel point que vous ne parvenez pas à payer vos factures, se glisse derrière, peut-être que l'huissier s'en sortira, souffrent d'arriérés de loyer et sont expulsés, ne gardez pas une trace de l'argent afin que vous ne puissiez pas vous permettre de prendre des médicaments, etc?
Maintenant tu penses sûrement dans votre esprit tranquille qu'il y a bien sûr d'autres efforts qui peuvent entrer et soutenir. Et bien sûr c'est. La municipalité propose également des personnes de contact ainsi que des hommes de bien et des gestionnaires. Mais imaginez-vous vivant sous un tel stress que vous ne pouvez pas décrocher le téléphone pour entrer en contact. Chercher un bon mari ou un bon manager est quelque chose qui prend beaucoup de temps – le délai de traitement peut prendre plus de six mois. Pendant une période de six mois, des choses très délicates peuvent se produire avec les finances, logement et ainsi de suite.
que la situation avec l'aide au logement ressemble à ce qu'elle est actuellement, donne un grand nombre d'anneaux sur l'eau. Il ne s'agit pas seulement des entreprises elles-mêmes, qu'elle soit communale ou privée. Il s'agit le plus souvent d'individus, dont la vie peut être brisée – et qui à la longue ont d'autres conséquences qui peuvent être extrêmement coûteuses pour la société (si l'on veut maintenant parler d'économie plutôt que de personnes).
Partir emplois pour les prestations sociales est l'une de ces conséquences. Passer de la réhabilitation au retour à la dépendance est une autre. Perdre le contrôle de l'économie et s'endetter est un troisième. Pour manquer des rendez-vous réservés avec des soins de santé ou d'autres agences importantes (Försäkringskassan, services sociaux, Le service de l'emploi, etc.) est un quatrième.
C'est dans la lumière de tels problèmes que je remets fortement en question la manière dont la ville de Västerås gère l'aide au logement – et d'ailleurs, beaucoup d'autres mesures de soutien pour les personnes handicapées de diverses natures. Je remets également fortement en question la perception des politiciens sur la façon dont leurs accords avec les acteurs privés fonctionnent dans la pratique. Je me demande encore plus pourquoi une municipalité est autorisée à jouer avec la vie des gens comme un enjeu.
C'est skitviktiga truc, des gens biens.
je comprends que il est facile de considérer un groupe de personnes comme une masse grise et de ne pas voir les individus qui la composent. Mais le fait est que nous tous, les humains, sommes des individus, et nous avons tous le droit de recevoir de l'aide et du soutien si et quand nous en avons besoin. La plupart des gens appartiennent à la soi-disant “en bonne santé” le groupe, och jag är ledsen att säga det – men har ni inte upplevt det själva eller sett någon på nära håll, tror jag inte att ni kan föreställa er hur behovet av struktur, rutin, trygghet och stabilitet kan se ut hos en person som av ett eller annat skäl är skör och instabil.
Det är skitviktigt.
Min alldeles egen, privata åsikt är att det till syvende och sist handlar om människosyn. Jag har skrivit om det många gånger, och tar mig friheten att nämna den extrêmement osmickrande svenska tycka-synd-om-mentaliteten som genomsyrar tamejfan hela samhället. Det finns vissa utsatta grupper man kan tycka lite synd om, klappa på huvudet lite förstrött och sedan ta hand om på ett sätt som gör att man kan fortsätta tycka synd om gruppen – och känna sig som en Lite Bättre Människa själv (som inte bara är frisk, utan dessutom hjälpsam till de där Svaga människorna).
C'est en mentalitet jag är övertygad har växt fram med hjälp av den politiska vänsterkanten. Medan jag å ena sidan sympatiserar och håller med om att ett samhälle måste ta hand om alla medborgare, även de som inte är störst, tuffast och starkast – så finns det sätt som lämpar sig bättre än andra. Att tycka synd om folk på det där nedvärderande och förnedrande sättet finns det ingen som tjänar på. Det säger däremot enormt mycket om den som innehar den här mentaliteten, och det är tyvärr inte särskilt smickrande.
…
Notera att jag aktivt väljer att i så liten mån som möjligt benämna den här gruppen som svag. Jag anser att det förminskar individerna som ingår i den här målgruppen. Jag har egentligen inget bra alternativ, annat än möjligen utsatta (och det finns många varianter på utsatt).
…
Hela den här sörjan innefattar så otroligt många perspektiv att det är lätt att bli alldeles snurrig. Allt eftersom ska jag försöka skriva ur lite olika perspektiv – dels för min egen skull, men också för att förhoppningsvis fler som inte har jättebra koll, ska få möjlighet att få veta hur det kan se ut. Det här är något som behöver nå ut till så många som möjligt.
Det råkar ju nämligen vara så att man inte ska bedöma ett samhälle utifrån hur många företag det finns, hur många spjutspetsar det finns inom tekniken – utan efter hur man behandlar de små individerna som inte har förmågan att ta lika stor plats som andra.
Dela gärna! Ju fler som får insikt i hur ringarna på vattnet sprids när kommuner som Västerås gör bort sig och hur konsekvenserna kan bli mer kostsamma än att ha ett fungerande nätverk, le meilleur.